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Date de création : 13.06.2012
Dernière mise à jour :
10.03.2021
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L'HYPERACOUSIE ET LES ACOUPHÈNES: A30. Hstorique de l'électro-stimulation( De l'antiquité jusqu'à présent).
Histoire
Des phénomènes naturels électriques étaient connus et utilisés à des fins médicales dès la haute Antiquité égyptienne. Les décharges électriques produites par l'organe électrique des poissons-chats sont illustrées dans un bas-relief du Mastaba de Ti à Saqqarah, datant-2400 .On sait aussi que les médecins de l'empire romain utilisaient les décharges générées par le poisson torpille pour traiter certains cas. C'est ainsi que Scribonius Largus, médecin attitré de l'empereur Claude (41-54), utilise ces animaux contre la migraine ou la goutte.
L'électrisée : gravure du XVIIIe siècle de Gravelot montrant l'électrisation d'une patiente au moyen d'une machine électrostatique.
Au xviiie siècle le physicien genevois Jean Jallabert, utilisant une machine électrostatique produisant des étincelles constate que l'électrisation en des points précis des différents muscles est capable de produire des contractions isolées de ces muscles. En 1748, il parvient à obtenir une amélioration notable en dirigeant l'arc électrique sur les muscles extenseurs de l'avant-bras, chez un patient ayant un bras paralysé1, bien que le caractère durable de cette amélioration soit ensuite contesté par l'abbé Nollet. En août 1783, Jean-Paul Marat se voit décerner le prix de l'Académie de Rouen pour son Mémoire sur l'électricité médicale. Pour atténuer les douleurs produites chez ses patients par les décharges électriques administrées durant les séances (celles-ci pouvant durer jusqu'à trois heures), il a l'idée de distraire l'attention de ses malades en faisant intervenir un conteur2.
La procédures électriques à visée thérapeutique furent introduites pour la première fois en médecine moderne par Christian Bischoff (1781-1861), un professeur de pharmacologie à l'Université d'Iéna. Il les utilisa chez l'homme dans le traitement de certaines maladies neurologiques. Bischoff fut de 1818 jusqu'à sa mort professeur de pharmacologie et pharmacologiste d'Etat à Bonn. Il utilisa un dispositif électrothérapeutique composé d'électrodes en argent pour guérir l'« organe paralysé » d'une de ses patientes3,4.
Contractions des muscles du visage provoquées chez un patient par l'application locale de courant galvanique par Guillaume Duchenne de Boulogne (1806-1875)
En 1855 Guillaume Duchenne (1806-1875), qui est souvent considéré comme le père de l'électrothérapie, constate la supériorité du courant alternatif sur le courant continu pour déclencher une contraction musculaire5. Ce qu'il appelle l'« effet chauffant » du courant continu était irritant pour la peau et aux tensions nécessaires à l'obtention d'une contraction des muscles provoquait l'apparition de vésicules (à l'anode) et d'ulcérations (à la cathode).
D'autres différences dans les propriétés de l'excitation des fibres musculaires existent entre courant continu et alternatif. Le courant continu (excitation « galvanique ») nécessite d'ouvrir ou de fermer le circuit électrique pour obtenir chaque contraction ; la force des contractions obtenues dépend de l'état de relaxation préalable du muscle. Le courant alternatif permet au contraire de produire de fortes contractions quel que soit l'état du muscle.
Appareil d'électrothérapie utilisé dans les années 1920. Musée des cultures populaires du Wurtemberg, Waldenbuch.
Depuis ces découvertes les techniques de rééducation fonctionnelle basées sur les contraction musculaire se sont développées en utilisant des ondes biphasiques symétriques. Dans les années 1940 cependant le département militaire américain, étudiant les effets des stimulations électriques non seulement pour retarder ou prévenir l'atrophie musculaire, mais pour restaurer la masse et la force musculaire employa ce qu'on appela l'entraînement galvanique sur les mains atrophiées de patients souffrant de lésions du nerf ulnaire après une blessure opérée6. Ces entraînements galvaniques utilisent une forme d'onde monophasique appelée « courant continu électrochimique ». La thérapie électrochmique (en anglais electrochemical therapy, ECT ou EChT) a connu un certain succès comme méthode d'électrothérapie en raison de ses bons résultats en clinique.
La TENS ou neurostimulation électrique transcutanée[modifier]
un boitier TENS à quatre dérivations pour deux sites de stimulation
La neurostimulation électrique transcutanée (NSTC), mieux connue sous son sigle anglosaxon TENS (Transcutaneous Electrical Nerve Stimulation) consiste à stimuler électriquement les nerfs au moyen d’électrodes posées à la surface de la peau. La principale indication de la TENS est le traitement de la douleur. Son action analgésique serait due au fait que les courants transcutanés interféreraient avec la conduction nerveuse. Les courants utilisés sont généralement des courants oscillants à moyenne (60 - 200 Hz) ou basse fréquence (<10 Hz).
La stimulation à haute fréquence dite « conventionnelle » peut être utilisée sur une période courte mais le soulagement de douleur dure alors aussi moins longtemps. La stimulation de basse fréquence, parfois similaire à l’électropuncture est plus inconfortable et tolérable pendant seulement 20-30 minutes, mais le soulagement dure plus longtemps. Les utilisateurs de T.E.N.S devraient expérimenter avec divers endroits de placement d’électrodes. Des électrodes peuvent être placées au-dessus du secteur douloureux, entourant le secteur douloureux, au-dessus du nerf assurant le secteur douloureux, ou même du côté opposé du corps. Les utilisateurs de T.E.N.S doivent essayer l’unité pendant plusieurs jours avec plusieurs placements d’électrode avant de décider s’il sera utile. Une épreuve à la maison pendant plusieurs jours ou semaines est préférable.
L'ÉVOLUTION DE L'ÉLECTRO-STIMULATION DANS LE TEMPS: (À SUIVRE) Votre dévoué tonyoo .Marseille le26/06/2012 À 17H21.